Parce que c'est bientôt Pâques, j'ai décidé de partir au front, et de mener la guerre du chocolat avant vous. 

Je m'étais jamais posé de question sur le travail du chocolat avant ça vu que pour moi c'était avant tout un ingrédient, pas une recette en elle-même. Autant vous dire que je partais de loin. 

 Donc quand j'ai trouvé la recette du kinder country sur les foodies, je suis partie tête baissée. Utopiste que je suis.

J'ai fait les gros yeux devant la recette: faire chauffer le chocolat à 50°, le descendre à 28° puis le remonter à 30°. 

Ayant un thermomètre à dispo, j'ai respecté. Oui oui. ça a donné ça: 

Bah oui. C'est moche hein ? Pourquoi ? Ben parce que j'ai suivi la recette à la lettre sauf que la lettre, elle a oublié de dire que le chocolat au lait ne peut pas se fondre directement à la casserole. Ou même au bain-marie. C'est con non ? Donc Monsieur le rédacteur de la recette, tu t'es cassé le cul à me préciser que le chocolat devait être à 28° mais PAS comment on le fait fondre ? 

Agacement. Je reprends mes esprits. Je recommence à zéro. Et je me dis, tant qu'à faire, je vais vous faire un petit tuto pour apprendre à faire des chocolats sans investir dans du matos de précision et sans passer 2h à regarder sa casserole. T'es okay ? T'es bath ? T'es in !

Pour les kinder country, il te faudra: 

- 200g de chocolat au lait

- 100g de chocolat blanc

- 1 bonne poignée de Rice Krispies

- Un moule, de préférence mieux que le mien, qui est celui-ci

Donc le noeud de la guerre, tu l'as compris, c'est comment on fait fondre ce fucking chocolat au lait. Pas à la casserole non non non. Pas au bain-marie non non. Un bain-marie pas vraiment bain-marie en fait. 

En effet, le saladier dans lequel se trouve le chocolat ne doit pas être au contact de l'eau. Seule la vapeur doit faire fondre le chocolat. ça a l'air relou comme ça, mais en fait non. 

Et là tu me dis: mais moi j'ai pas de thermomètre. Est ce que je peux faire du chocolat quand même ? Je te dis oui. 

Le tempérage du chocolat (oui c'est le mot cool pour dire qu'il faut faire des différencse de température) ça sert avant tout à avoir un chocolat joli et brillant. Et un peu à ne pas altérer sa texture. 

Mouais. Honnêtement, avec le chocolat noir, je comprends: les traces blanches, c'est vilain. Avec le chocolat au lait, on peut tout à fait se passer de thermomètre avec ma technique de feignasse. 

Je reprends donc la recette. Une casserole, de l'eau, un saladier, 100g sur les 200g de chocolat au lait. 

Quand le chocolat commence à bien fondre et qu'il ne reste plus que quelques bouts de carrés non fondus, on retire du feu, on met le saladier dans un plus grand saladier avec de l'eau froide et on continue à mélanger jusqu'à ce que tout soit fondu. Là on repasse rapidement (le temps de touiller un peu) au dessus de la casserole chaude. Et c'est bien suffisant. 

Le chocolat au lait de mes kinder est plutôt brillant, ni l'aspect ni la texture n'a été altérée. Donc franchement ? Pourquoi se prendre la tête ? 

Maintenant que tu as du beau chocolat au lait fondu, tu peux l'étaler au fond du moule, et le mettre au frigo pour qu'il durcisse (30-45min je dirais). 

Ensuite, on passe au chocolat blanc. Pareil dans la recette initiale, tempérage, indication de degré absurdes, chiant chiant chiant. Je me suis pas pris la tête, bim dans la casserole, feu très bas: et ben ça fond très bien. On s'en fout que le chocolat ne soit pas brillant, c'est la couche du milieu bordel!

Bref. Je m'emporte. Ce chocolat blanc, il suffit de l'étaler sur la 1ère couche de chocolat au lait, et de parsemer de rice Krispies. 

On retourne au frigo, un petit quart d'heure pour que ça prenne. 

Et là on recommence le même cirque que précédemment avec les 100g de chocolat au lait restant et on l'étale en 3ème couche sur les Kinder. 

Et rebelotte le frigo. Mais cette fois pour 2h.

Le résultat ? BIEN meilleur que le premier ça c'est sûr. J'ai trouvé ça bon, j'en referais. En revanche, j’appellerais pas ça des Kinder country, je n'ai pas vraiment retrouvé le goût. Mais du chocolat au riz soufflé je dis oui oui oui !

Votre attention s'il vous plait. Cette recette, c'est ma recette qui fait dire "mais COMMENT t'es toujours pas mariée?" à mes amis. Et celle qui me fait réaliser, du coup, que je dois vraiment être une plaie à vivre au quotidien si aucun homme n'a voulu rester malgré mon risotto aux St Jacques. Bref, peut être es-tu moins chiant(e) et que ça te suffira.

Pour 4 personnes: 

- 300g de riz à rizotto

- 1l de bouillon de légume

- environ 16 coquilles saint jacques (moi j'ai pas honte, je les prends surgelés. C'est nettement moins cher et on en trouve des pas mal du tout. Et je prends AVEC le corail, mais ça, ça dépend des goûts de chacun)

- un petit bol de lait

- du poivre

- du persil

- un peu de beurre

Si tu as des coquilles surgelées, voila une super astuce de la mort qui tue pour les décongeler ET réussir tes coquilles saint jacques: les faire décongeler dans un bol de lait. Voila voila. 

Une fois qu'elles sont à peu près décongelées, on commence par les faire revenir dans une grande poêle avec un peu de beurre en gardant le lait dans un coin. On sort les coquilles de la poêle et on réserve. 

Là, on passe au risotto: on met le riz dans la poêle où on a fait revenir les saint jacques (avec le reste de beurre, et sans doute un peu de lait qui aura dégorgé) jusqu'à ce que le riz devienne transparent. 

Et puis voila, on commence le rituel du risotto: on couvre de bouillon, on tourne, on attend que ça soit absorbé, on remet du bouillon, on tourne blabla. 

Si c'est ton premier risotto et que tu ne gères pas la cuisson, ajoutes 5cl de lait dans lequel les coquilles ont trempé en début de cuisson (genre après la 1ère louche de bouillon). Moi je le fais vers la fin, mais c'est pas toujours évident de distinguer "la fin" pour des noobs du risotto. 

Et puis, pour info, c'est mieux de faire cuire à feu doux. Moi je mets sur 2 ou 3 sur ma plaque électrique, car OUI j'ai une plaque électrique. Y'en a qui choisissent pas leur famille moi en plus j'ai pas pu choisir mon électroménager. 

Pour savoir quand c'est cuit, le mieux ça reste de goûter. Mais normalement, après 20 à 30min de cuisson et 1l de bouillon ça doit être bon. 

Juste avant la fin, on rajoute les coquilles, un peu de poivre et de persil. 

On touille, on touille, on mange !

J'ai galéré sur ce thème. AUCUNE inspiration. Alors qu'objectivement, le thème était bien choisi et laissait pas mal de possibilités. Mais non rien. Quand soudain. J'ai pensé thé, thé à la menthe, pâtisseries orientales.

Les pâtisseries orientales, ce sont un peu mes exceptions à mon perpétuel "non merci je suis pas très sucré". Oui. Je suis pas très "sucré". Mais ULTRA sucré et gras, là c'est mon truc. 

Bref. Tout ça pour vous dire que je vous ai fait des cornes de gazelles, car ça me semble la plus accessibles à la réalisation de toutes les merveilleuses pâtisseries libanaises, algériennes, marocaines... <3 (Après, soyez libres de me donner d'autres recettes et de me dire que si, c'est facile, hein.)

Traditionnellement, les cornes de gazelles sont faites avec de la fleur d'oranger. Mais vu que le thème c'était pas la fleur d'oranger, eh ben j'y ai mis du thé. Et ça marche très bien !

(petit rappel, le thème a été choisi par J'ai trop mangé de chocolat ! )

Pour 8 à 10 cornes de gazelles : 

(J'ai adapté un peu. Je n'ai trouvé que des recettes pour 30/40. Alors oui hein. Sauf que moi 10 cornes de gazelles ça va me tenir 10jours. Et MALHEUREUSEMENT je ne fais pas le ramadan, donc je n'ai aucune excuse pour m'empiffrer 20 cornes de gazelle la nuit venue. MALHEUREUSEMENT.)

Pour la pâte : 

-150g de farine

- 100g de beurre fondu

- 6 cuillères à soupe de thé infusé (donc c'est ici normalement qu'on met la fleur d'oranger)

Pour la farce: 

- 125g d'amandes en poudre

- 60g de sucre

- un peu de thé infusé

- 20g de beurre fondu

Moi, je commence par faire la farce. Comme ça le temps que je fasse la pâte, la farce aura un petit peu durci et ça sera plus facile de modeler les cornes. 

Et puis pour la farce c'est pas bien compliqué: On mélange les amandes, le sucre et le beurre et on ajoute peu à peu du thé infusé (ou de la fleur d'oranger), jusqu'à obtenir une pâte lisse, un peu comme une pâte d'amande. 

Une fois qu'on a la bonne texture, il suffit de prendre une boule de pâte (environ 15g, c'est mieux de peser et d'être sûr que toutes les boules font le même poids. Rapport à la cuisson, en fait). 

Et là il suffit de les rouler à la main, de les allonger un peu pour donner une forme de croissant. On les dépose sur la plaque du four recouverte de papier cuisson et on laisse de côté. 

Pour la pâte, c'est pas plus compliqué: on mélange la farine et le beurre, et on ajoute, peu à peu, le thé pour que la pâte forme une boule homogène. Il faut 6 à 8 cuillères à soupe de thé environ. 

La pâte est assez élastique, pas évidente à travailler: pas de panique, c'est normal. 

Là on passe à l'assemblage du tout. 

On prend un peu de pâte. On l'étale sur le plan de travail très légèrement fariné. La pâte doit être fine, presque transparente. On pose le croissant de farce dessus et en plie. On découpe enfin les bords avec un machin-que-je-sais-pas-comment-ça-s'appelle mais qui fait de jolis bords. 

Et là, tu te dis: j'ai rien compris. Heureusement, en les faisant je me suis douté que ça allait me fatiguer de t'expliquer ça. Alors j'ai pris des photos. Moches, évidemment hein. Je voudrais pas risquer la une d'Hellocoton dis donc. 

Donc voila, le poids des mots, le choc des photos, on fait comme ça: 

Bon là c'est pénible. Mais faut que je vous le dise. Faut laisser sécher 12h. Relou. Mais on a pas le choix. 

DONC. Le lendemain matin (a priori), on fait des petits trous avec un cure dents sur le dessus des cornes. Et pouf, au four 15min à 180°. Attention. Attenzione. Les cornes ne doivent pas dorer. En revanche, vous saurez si c'est prêt quand du sucre commence à perler par les petits trous susmentionnés. 

Là on peut les manger direct, ou les recouvrir légèrement de sucre glace comme sur la première photo! 

Voila. Pour citer Jackie Quartz (car c'est important de le faire), je voulais juste faire une petite mise au point sur cette histoire avec Hellocoton  que tout le monde n'a pas suivi. D'ailleurs, vous avez tout à fait raison de ne pas suivre cette histoire, c'est franchement pas intéressant. 

Maintenant que j'ai bien vendu mon article, je continue. 

Il y a quelques temps, j'ai lancé une boutade à Hellocoton via mon twitter, me plaignant de n'être jamais en Une.

Il s'agissait d'une blague, le ton n'était absolument pas hargneux. La discussion se poursuit sur mon Twitter, sans qu'Hellocoton intervienne. 

Quand soudain, la CM décide de répondre et de nous expliquer les critères de sélection du site. Ce faisant, elle n'a pas réalisé qu'elle induisait que mon blog était pourri et que son tweet apparaissait aux yeux de ma TL comme une attaque personnelle.

Elle s'est donc excusée. Mais seulement par mail. Grande classe. 

L'histoire reprend hier à cause de cet article chez Lili's Kook. Et là, rebelotte. Alors même que je ne suis pas responsable de cet article et que je ne fais que donner mon opinion, la CM s'acharne : 

"Donc non, une photo floue, sombre ou mal cadrée ne sera pas sélectionnée. (et je suis désolée si Lornofouin a été vexée par ma réponse, cela m’apprendra à être franche, peut-être aurait-elle préférée que je lui mente ? ou que je la flatte ?)" (En plus je m'appelle même pas LORNOFOUIN Madame !)

Encore une attaque perso. Et puis maintenant mes photos sont floues, sombres et mal cadrées. Ah bon. Eh ben Merci, hein.

Comme je le disais sur ce site, je n'ai pas de reflex à 1000 balles. Je n'ai pas photoshop. Je ne passe pas 10h à faire des shooting de macarons. 

Les recettes que je vous propose, je les ai testées et j'ai d'ailleurs passé plus de temps à les faire qu'à les photographier. My bad. 

Toujours est-il que nous sommes nombreuses à regretter les choix éditoriaux d'Hellocoton, qui sélectionne les articles - soyons honnêtes - exclusivement sur les photos. 

La cuisine, c'est visuel, certes. Mais pas que. Avant d'écrire ce blog, j'étais aussi, et je suis toujours, lectrice des vôtres. Et moi, comme bon nombre d'entre nous, je recherche une recette sympa avant de chercher une recette jolie. 

Quand je trouve une recette, je la fais, je la refais, je la re-re-fais jusqu'à satisfaction. Parfois même, je ne la publie jamais sur mon blog parce que je ne la trouve pas assez bien. 

Alors quand je vois ça en une:

Je me pose des questions. Est-ce de la cuisine ? Non. la photo est elle jolie ? Oui. Mais alors, ne devrait on pas créer une catégorie "photographie culinaire" plutôt que "cuisine" ? 

Dans sa réponse sur le blog de lili's Kook, la CM d'Hellocoton prétend vouloir nous tirer vers le haut. Je dois être bien bas, dans l'échelle des blogs, pour qu'une recette de spaghettis aux colorants alimentaires me tire vers le haut. 

In fine, je trouve regrettable l'attitude d'Hellocoton. D'une part, la CM devrait apprendre à respecter les gens, et à leur parler correctement, en arrêtant de m’appeler "miss" et de me tutoyer, par exemple. Et accessoirement, à pas péter plus haut que son cul. 

Mais si on en reste strictement aux blogs cuisine, cette sélection drastique sur l'esthétique exclu bon nombre de blogs des Une. On tourne alors un peu en rond, autour de blogs certes très bien, ne nous méprenons pas. Mais on découvre peu. Je pensais que c'était là l'objectif d'Hellocoton, aujourd'hui, je suis déçue.

Enfin, en étant un ornithorynque, je ne peux me plaindre d'être le vilain petit canard finalement.

Et pour finir sur une note positive, je vous encourage tous à faire un tour du côté de libéfood qui me permet tous les jours de faire de belles découvertes !

Et en attendant, je vous retrouve bientôt pour des recettes super moches, avec des cadrages ratés, mais bonnes quand même. 

Il faut commencer par faire fondre le beurre dans le lait à la casserole. Moi j'ajoute un trait de sirop de la boite d'ananas. Mais c'est pas obligé. On peut même remplacer complètement le lait par du lait de coco (mais attention, c'est assez... écœurant quand même, moi je suggère plutôt de mettre 10cl de lait/ 5cl de lait de coco) ou remplacer le sirop par un peu de rhum (miam).  

Pendant ce temps, on préchauffe le four à 210°.  

Dans un saladier, on mélange la farine, la levure et le sucre. On ajoute l’œuf au centre et on délaye avec le mélange lait/beurre. Alors oui, ça fait des grumeaux. Mais avec un fouet et 2-3 min de mélange intensif on en vient très bien à bout. 

Là je vous laisse encore le choix: soit vous coupez en morceaux l'ananas et hop dans la préparation, soit vous le coupez en morceaux et les faites revenir à la poêle avec un peu de sucre roux, de sucre vanillé et de beurre (bonheur). 

Il suffit ensuite de mettre un peu de sucre roux au fond des moules, de verser la préparation dessus et de cuire environ 20min. Attention, démoulez quand c'est encore chaud, sinon le sucre va refroidir et ça va être mission impossible. 

Un vendredi soir à glander à la maison, en pyjama devant ma télé, quand soudain, une envie irrépressible de moules marinières. C'est possible, ça arrive. 

Afin que vous ne vous trouviez pas pris au dépourvu dans pareille situation, je suis gentille et je vous donne ma recette qui, de surcroît, est super simple. 

Pour 4 personnes: 

- 1kg 200g de moules

- 50g de beurre

- 1 échalotte

- 50 cl de vin blanc sec

- un bouquet de persil

Pour commencer je ne peux que vous recommander vivement d'acheter des moules déjà préparées. C'est à dire à peu près lavées mais surtout grattées. Parce que c'est très chiant de gratter. Voila vous êtes informés, maintenant, vous faites ce que vous voulez. 

Ensuite, il faut émincer l’échalote, pendant que le beurre fond tranquillement dans une sauteuse (ou une casserole, si toi pas avoir toute la panoplie Tefal). 

On met ensuite l'échalote dans la sauteuse mais attention, faut pas colorer, juste faire suer. 

Là on peut ajouter le vin blanc, les moules et la moitié du persil ciselé. On laisse chauffer à feu fort 4 à 5min en retournant régulièrement. 

Et hop on peut servir, en parsemant sur le dessus le reste du persil. 

Et évidemment on sert avec des frites. Mais là, j'ai rien inventé, ce sont des just au four. Honte sur moi. Mais j'ai pas de friteuse, it's not my fault. 

C'est pas facile facile d'avoir un blog, je vous le dis. Un blog cuisine, c'est encore pire. 

C'est beaucoup d'investissement de cuisiner tout ce gras, et de devoir le manger ensuite. 

Je vous explique mes soucis du moment. 

La cuisine, c'est ma passion, ça oui. D'où le blog, d'ailleurs. Sinon ça serait couillon un peu. Mais entretenir un blog c'est un défi quotidien. 

D'abord, il faut des idées. Sans arrêt. Souvent, je prépare des plats et je les trouve trop peu photogéniques, ou trop simples, alors je ne les publie pas. Parfois, je cuisine et je suis déçue du résultat. Alors (sauf ratage intégral et râlage subséquent comme ici) je vous épargne la recette, parce que je suis bien sympa quand même. 

Ensuite, il faut du temps. Du temps pour acheter les ingrédients (oui c'est moi la débile qui régulièrement oublie d'acheter du beurre/du sucre/ de la farine tout ça). Du temps pour préparer avec amour la recette. Du temps pour la rédiger. Du temps pour faire les photos. 

Ensuite il faut du courage. Oui au moins du courage, pour manger tout ce que je fais. Et puis récemment j'ai remarqué que vous étiez nettement plus réactifs quand je parle de brookies que de fenouil. Sauf que moi, j'essaye désespérément de me mettre au régime. Et je vous épargne les détails de ma récente intoxication alimentaire. 

Alors, avec tout ça, j'ai mis un peu le blog en stand-by. Bon pas trop non plus hein. Mais le temps de refaire le plein d'idées quoi.

Et en fait tout ce blabla pas intéressant c'était pour dire que j'avais d'autres centres d’intérêt dans la vie, notamment la déco. Mais ça vous le savez déjà, mon article sur les stars du vintage est le plus lu du blog! 

Donc en fait, ce post n'est qu'un très long préambule inutile pour vous dire qu'arrive un super article avec mes adresses de déco vintage en ligne. Ouais ouais. Et bisous, hein.